WOLINSKI L'HIVER

C'est stupéfiant, l'hiver. On divers, mais ça croupi à l'idendique, dans les vergers, dans les pommes. Quoique, j'ai blanchi ce matin dans le miroir, des poilus exactement sous la mentonnière. Un cou des jouvenceaux, ça. Une mentonnère calamistrée hivernale. Bah, c'est l'offence à une vieille barbe à papa oubliée à l'enfance. Ça dynamite alors que je Disney chez les paparazzis.

L'hiver se présente: je m'appelle Henry Blanc, sushis de saumons et tétons farcis. Un frimeeur étoilé. Tout ça, parce que ces flocons sont uniques depuis l'origine du monde et que Greta Carboglace la courtisane d'une tisane de noix de coco, l'hiver est le voile des illusions. Les noisettes seront liégeoises, la menthe...une véritable crème glacée et celui qui l'esquimau l'émaux Odin de Rennes, à grelotter les mots.

Des frileux de propolis, Bergen gelée et grivures avec la littérature. L'hiver plombière, les Côtes d'Or aujourd'hui et Lady Dazs, demain. Smells aqua les écrivains en baskets, celles qui sorbets sur la banquise? Glaçons Odin la reine des ice-cream, verglas glas-glas, vers glyphes...if-if et vers gloria, et bien, y ria Odin: ha ha ha !